Le Stade Etihad a confirmé ce qui était un secret de polichinelle avant le match. Le club anglais avait choisi d’ignorer la situation parce que l’initiative provenait des fans du South Stand de l’enceinte anglaise… et personne ne pouvait l’arrêter, pas même l’UEFA, qui a donné son approbation quelques heures avant le coup d’envoi, ne percevant aucun double sens dans la banderole déployée lorsque les 22 joueurs ont pénétré sur le terrain. « Stop Crying your heart out », pouvait-on lire sur le message accompagné d’une photographie de Rodri embrassant le Ballon d’Or.
Sommaire
Un message fort des supporters
« Stop Crying Your Heart Out » est l’une des chansons les plus célèbres d’Oasis, étroitement liée à Manchester City. Elle semble faire référence à la décision du Real Madrid, notamment à celle de Vinicius, de ne pas assister à la gala du Ballon d’Or après avoir appris que le Brésilien ne serait pas le lauréat, alors que le médian espagnol, actuellement blessé, ne sera pas sur le terrain. Les paroles évoquent l’idée qu’en période difficile, il faut continuer à avancer dans la vie. Noel Gallagher, compositeur et guitariste principal du groupe, a expliqué récemment que la chanson était dédiée à « un ami qui traversait une période difficile avec ses enfants et je l’ai écrite en pensant à lui ».
L’initiative de la banderole, portée par un groupe de fans des ‘Sky Blue’ sous le nom ‘Weare1894’, a surpris Rodri, qui se trouvait dans les tribunes du stade Etihad pour soutenir ses coéquipiers. Il n’a pas hésité à sortir son téléphone pour immortaliser cet instant, après avoir remporté le Ballon d’Or du meilleur joueur de la saison précédente. Une énorme banderole a été déployée pendant plus de cinq minutes avant le début du match de barrage de la Ligue des champions, jusqu’à ce que l’hymne de la compétition européenne soit terminé et que les joueurs soient déjà sur le terrain.
Guardiola face à la polémique
Tant Guardiola que Ruben Dias ont été interrogés sur cette controverse lors de la conférence de presse précédant le match, et tous deux ont refusé de s’y impliquer. « Il n’y a pas de ressentiment envers eux. Rodri a gagné et je suis content pour lui. Vinicius a également eu une année extraordinaire et aurait mérité ce prix, » a déclaré l’entraîneur espagnol. Le Portugais a ajouté : « Je ne vais pas perdre une seconde à penser si c’était irrespectueux. J’étais heureux pour Rodri comme je pense que tout le club l’était. Je ne perds pas mon temps à penser à cela, » soulignant que la controverse entourant cet incident ne concernait pas leur propre attitude.

Sophie Ducrocher est le symbole d’une cheffe de rédaction qui allie avec brio la finesse de l’éditorialiste et la poigne d’une responsable d’équipe. Brillante, déterminée et dotée d’un esprit analytique affûté, elle est diplômée de la prestigieuse École Supérieure de Journalisme de Paris, une institution qui a façonné de nombreux talents du journalisme français.
À la tête de la rédaction du journal Première Édition, Sophie s’illustre par sa capacité à décortiquer les événements actuels avec perspicacité et un sens critique acéré. Son éditorial hebdomadaire est une référence pour les décideurs, les intellectuels et les passionnés d’analyse politique et sociale. Sophie a gravi les échelons du monde journalistique en s’appuyant sur une éthique de travail rigoureuse et une vision novatrice du métier. En tant que cheffe de rédaction, elle impulse une dynamique d’excellence et d’innovation, encourageant ses équipes à explorer des angles originaux et à produire un contenu de qualité qui fidélise un lectorat exigeant.
Elle incarne le rôle d’une éditorialiste influente et d’une meneuse d’hommes et de femmes avec un leadership naturel et respecté. Son engagement pour le journalisme d’investigation et son intuition pour les sujets d’avant-garde font d’elle une voix incontournable dans le paysage médiatique français.