Réjouissez-vous, car des changements récents sont intervenus concernant la fiscalité des véhicules fabriqués en Chine ! Dans cet article, vous découvrirez tout ce qu’il est essentiel de savoir sur ce sujet brûlant.
Sommaire
Contexte des tensions économiques
Les récentes tensions entre l’Union Européenne (UE) et la Chine ont mené à une révision de la fiscalité concernant les véhicules fabriqués en Chine. Suite à une enquête menée par la Commission européenne, des ajustements des droits de douane ont été effectués.
Réduction des droits de douane
Initialement, les droits de douane supplémentaires imposés sur les voitures fabriquées en Chine devaient être très élevés. Cependant, ces surtaxes ont été révisées à la baisse, offrant un soulagement financier aux constructeurs occidentaux et une légère baisse pour les marques chinoises.
De nouvelles décisions en faveur des constructeurs occidentaux
Pour les constructeurs automobiles non-chinois tels que Tesla, Cupra et Mini, la baisse des droits de douane a été significative. Tesla, par exemple, a vu ses droits chuter de 20,8 % à 9 %, après que la Commission européenne a constaté que la marque américaine avait reçu moins de subventions du gouvernement chinois.
Impact limité pour les marques chinoises
Bien que les droits de douane aient aussi été réduits pour certaines marques chinoises, la baisse est beaucoup moins marquée. Par exemple, BYD a vu ses droits de douane passer de 17,4 % à 17 %, et Geely de 19,9 % à 19 %.
Coopération avec les coentreprises européennes
Certaines entreprises chinoises ayant une coentreprise avec des constructeurs européens ont également bénéficié de réductions de surtaxes. Avant ces ajustements, elles auraient dû être soumises à près de 38 % de taxes supplémentaires.
Tableau comparatif des changements fiscaux
Constructeur | Droits de douane initiaux | Droits de douane révisés |
Tesla | 20,8 % | 9 % |
Cupra | Près de 38 % | 21,3 % |
Mini | Près de 38 % | 21,3 % |
BYD | 17,4 % | 17 % |
Geely | 19,9 % | 19 % |
SAIC (incluant MG) | 37,6 % | 36,3 % |
Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!