L’application de navigation Waze compte des millions d’utilisateurs à travers le monde, mais sa dernière mise à jour, la version 4.101, pourrait bien déplaire à certains d’entre eux. Alors que cette mise à jour promettait de corriger des bugs et d’améliorer l’expérience utilisateur, plusieurs fonctionnalités ont été notamment modifiées, parfois au détriment des utilisateurs. Décryptage.
Sommaire
Un correctif nécessaire pour contrer les bugs
La nécessité d’une mise à jour était indéniable pour régler divers problèmes rencontrés par les utilisateurs de Waze. De nombreux bugs signalés régulièrement, nuisant à la qualité de l’expérience utilisateur. Cette mise à niveau était attendue avec impatience par beaucoup, dans l’espoir qu’elle améliore les choses. Voici ce que propose cette nouvelle version :
- Correction de divers bugs récurrents,
- Amélioration des performances générales,
- Mise à jour des cartes pour une meilleure précision,
- Nouveauté : possibilité de choisir un trajet alternatif si Waze détecte un problème sur l’itinéraire initial.
Des utilisateurs mécontents face aux changements
Même avec des améliorations importantes, certaines modifications apportées par cette dernière version n’ont pas fait l’unanimité auprès des utilisateurs. Plusieurs éléments ont été modifiés, entraînant des critiques de la part de ceux qui appréciaient les fonctionnalités précédentes.
Du côté positif, certains changements sont bien accueillis par la communauté. Parmi eux, la possibilité d’avoir un aperçu plus détaillé des conditions de circulation sur le trajet avant même de démarrer semble être un ajout apprécié.
Du côté négatif, d’autres modifications semblent moins bien acceptées par les utilisateurs. Parmi ces éléments controversés, on peut citer : une nouvelle interface jugée moins intuitive et facile d’utilisation et l’ajout d’un bandeau publicitaire en bas de l’écran, gênant pour certains pendant la navigation.
Sans oublier les notifications intempestives indiquant des alertes de trafic ou de dangers, qui se révèlent parfois inexactes ou obsolètes, ainsi que l’impossibilité désormais de partager sa position avec ses contacts sans avoir à rejoindre un groupe Facebook ou Gmail.
Quelles sont les alternatives à Waze ?
La controverse autour de cette mise à jour pourrait inciter certains utilisateurs à se tourner vers d’autres applications de navigation.
Sachez d’abord qu’en tant que filiale de Google, Waze dispose souvent des mêmes cartes que Google Maps, mais avec davantage d’options communautaires. Si vous n’êtes pas satisfait de la nouvelle mise à jour de Waze, Google Maps est une alternative évidente à envisager.
Développée par Nokia et actuellement gérée par HERE Technologies, HERE WeGo est quant à elle une application qui se distingue notamment par sa disponibilité hors-ligne, pratique pour voyager sans connexion Internet.
Sans oublier Mapy.cz, une application tchèque qui dispose d’une fonctionnalité de navigation hors ligne avec des guides audio touristiques en plusieurs langues. Elle est surtout appréciée pour les randonnées pédestres et cyclistes dans les régions d’Europe centrale.
Ne vous précipitez pas à désinstaller Waze !
Même si cette nouvelle mise à jour suscite des critiques auprès de certains utilisateurs, soulignons que l’équipe de développement de Waze est généralement très à l’écoute des feedbacks. Une prochaine mise à niveau pourrait rectifier le tir, en tenant compte des remarques des utilisateurs mécontents afin d’améliorer leur expérience.
En attendant, nous vous invitons à explorer ces différentes alternatives pour votre navigation quotidienne, tout en gardant un œil sur les futures mises à jour de Waze.
Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!