Sommaire
Introduction
Dans un contexte de préoccupations croissantes concernant la sécurité routière en Espagne, le gouvernement annonce une intensification de la surveillance par radar. Le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, a confirmé que 122 nouveaux radars seront installés d’ici 2025, une décision qui suscite à la fois l’adhésion et des critiques parmi les automobilistes.
Une mesure impopulaire mais nécessaire
Le ministère de l’Intérieur reste convaincu que l’installation de radars est essentielle pour lutter contre les excès de vitesse, malgré le mécontentement qu’elle engendre. Le ministre a affirmé que « la politique de sécurité routière repose sur un équilibre entre l’éducation et la surveillance ». Cela signifie qu’un mélange de formation des conducteurs et de contrôle est nécessaire pour atteindre les objectifs de sécurité routière. En janvier 2024, le bilan des accidents a révélé 1 154 décès sur les routes espagnoles, un chiffre jugé « inadmissible » par Grande-Marlaska.
Installation et période de grâce
La Direction Générale de la Circulation (DGT) a déjà commencé à installer les nouveaux radars avec 24 unités actives. Ces radars sont répartis entre 17 fixes et 7 de section. Toutefois, ces dispositifs ne commenceront pas immédiatement à infliger des amendes. Une période d’un mois sera accordée pour informer les conducteurs de leur présence via des lettres explicatives destinées aux contrevenants. À partir du 21 février, les radars commenceront à sanctionner les excès de vitesse.
Localisations des nouveaux radars
Les radars sont activement installés dans plusieurs provinces, dont A Coruña, Asturias, Lugo, Ourense, Pontevedra, Almería, Málaga, Granada, Alicante et Valencia. La DGT a déjà publié une carte de leurs emplacements sur son site officiel, facilitant ainsi leur intégration dans les dispositifs de navigation des automobilistes. Les détails précis ont également été rendus publics pour assurer que les usagers de la route sont bien informés.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!