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Le Campo de Gibraltar, un cauchemar pour les conducteurs
Le Campo de Gibraltar, situé dans la province de Cádiz, est devenu une zone redoutée par les automobilistes en raison de sa forte densité de radars de contrôle de la vitesse. Avec plusieurs dispositifs en place, cette région est reconnue pour sa capacité à générer des amendes importantes liées aux excès de vitesse.
Une concentration de radars parmi les plus redoutés d’Espagne
Dans cette comarca andalouse, on trouve déjà deux des radars les plus efficaces en matière de sanctions. Les fameux cinémomètres sont positionnés sur la route A-381, l’un au kilomètre 74,6, en direction de Los Barrios, à la sortie du tunnel de Valdeinfierno, et l’autre au kilomètre 37,3, en direction de Jerez. Ces dispositifs sont responsables de plus de 147 000 amendes annuelles, consolidant ainsi Campo de Gibraltar comme l’une des zones les plus lucratives pour la Direction Générale de la Circulation (DGT).
Un nouveau radar en service sur l’A-7
Pour intensifier la surveillance, la DGT a récemment installé un nouveau radar de section sur l’A-7, à San Roque. Ce radar, qui couvre un tronçon de 2 kilomètres avec une limitation de vitesse à 80 km/h, est sur le point de commencer à sanctionner les excès de vitesse. Selon des sources de la DGT, la signalisation finale a déjà été mise en place, annonçant la présence du radar, et une communication officielle de son emplacement devrait être disponible sous peu.
Ce nouveau dispositif se joindra à un cinémomètre fixe déjà actif au kilomètre 118,82 de la même autoroute, ce qui devrait contribuer à renforcer la vigilance dans une région où les accidents de la circulation sont fréquents.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!