La réglementation sur l’importation et l’enregistrement des mini-trucks japonais de plus de 25 ans est complexe. Chaque État fixe ses propres règles concernant le titrage et l’enregistrement des véhicules, ce qui pose des problèmes aux propriétaires de mini-trucks qui ont légalement importé leurs véhicules selon la loi fédérale. À travers le pays, des militants font pression sur leurs gouvernements d’État pour protéger explicitement ces véhicules, et le Texas semble écouter.
Sommaire
Une nouvelle législation au Texas pour les mini-trucks
Le sénateur de l’État Kelly Hancock a introduit le projet de loi SB 1816 le 3 mars, qui codifie des protections pour les mini-trucks japonais importés de 25 ans ou plus dans la loi de l’État. Ce nouveau projet de loi définit ce qui qualifie un mini-truck : « une voiture miniature, un camion, une fourgonnette ou un bus fabriqué au Japon. » Celui-ci doit avoir un moteur à combustion de 1,2 litre ou moins et une vitesse maximale d’au moins 50 miles par heure.
Conditions d’opération et étapes législatives
Les camions importés doivent également posséder un compteur de vitesse, des phares, des feux arrière, des clignotants, des essuie-glaces et un rétroviseur, si le propriétaire souhaite obtenir un titre et les utiliser sur les autoroutes de l’État. Ce projet de loi renforce la protection de ces petits camions au Texas, après que des militants ont réussi à faire modifier la politique du Département des Véhicules à Moteur de l’État, qui interdisait ces véhicules. Toutefois, un changement de politique n’est pas une loi, ce que corrige ce projet de loi.
La statue proposée doit passer par la législature du Texas avant de devenir loi. Si elle est adoptée, le projet de loi entrerait en vigueur le 1er septembre. Cependant, il reste un risque que ce projet ne soit jamais approuvé. Un représentant de l’État a parrainé un projet similaire en Géorgie, mais a pris sa retraite avant qu’il puisse avancer, redémarrant ainsi le processus.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!