Sommaire
Introduction
Face à une situation alarmante sur les routes espagnoles, le gouvernement intensifie ses efforts pour réduire la sinistralité routière. Avec plus de 1 150 décès en 2024, des mesures drastiques sont mises en œuvre pour assurer la sécurité des conducteurs.
Augmentation des contrôles routiers
Le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, a récemment annoncé un renforcement des mesures de contrôle sur les routes. Lors de la IVe Conférence mondiale des ministres pour la sécurité routière à Marrakech, il a présenté le modèle espagnol de mobilité sûre tout en évoquant la nécessité d’agir face à des chiffres de sinistralité jugés « inasumables ».
En 2025, le gouvernement prévoit d’augmenter significativement le nombre de contrôles, en particulier ceux liés à la consommation de drogues. En effet, les sanctions pour conduite sous l’emprise de drogues ont presque doublé, passant de 26 126 à 54 693 infractions en un an, soit une hausse de 109,34%. En réponse, la Direction générale de la circulation (DGT) a lancé un objectif ambitieux d’effectuer 130 000 contrôles de drogue au cours de l’année.
Réduction de la limite d’alcool
En parallèle, la DGT a également prévu une baisse de la limite d’alcool autorisée au volant, visant à établir une politique de tolérance zéro. De plus, le gouvernement prévoit des inspections aléatoires de l’état des véhicules, après avoir constaté que jusqu’à 25% des voitures vérifiées présentent des défauts graves.
La sécurité routière demeure une priorité pour les autorités, qui cherchent à sauver des vies par le biais de réglementations strictes et de contrôles renforcés. Selon les déclarations du ministre, « il est essentiel de faire respecter les normes », car un conducteur sur trois décédé l’était encore sous l’influence de l’alcool.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!