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Le Dacia Sandero, un phénomène automobile en Espagne
Le Dacia Sandero s’impose une fois de plus comme le véhicule le plus vendu en Espagne. Pour l’année 2025, il continue sur sa lancée. Avec sa combinaison d’options de motorisation à basse consommation, d’un design soigné et d’un prix défiant toute concurrence, ce modèle attire de nombreux acheteurs. Nous avons analysé les éléments clés qui expliquent ce succès indéniable.
Un design soigné et attirant
La troisième génération du Dacia Sandero, lancée à la fin de 2020, a bénéficié d’un restyling en 2022 qui a revu l’image de la marque. Cette nouvelle version a su se démarquer par son esthétisme, surtout en optant pour la carrosserie Stepway, qui lui confère une allure de crossover. Avec une augmentation de 4 cm de sa garde au sol, le Sandero offre une meilleure sécurité sur des chemins plus accidentés. La version testée était l’extrême Go, peinte dans une teinte appelée « Liquen Caqui », qui constitue un choix esthétique apprécié.
Intérieur et technologie
À l’intérieur, le Sandero se distingue par sa simplicité fonctionnelle. Bien que la plupart des matériaux soient en plastique dur, on note quelques finitions plus soignées sur le tableau de bord. L’espace à l’arrière est généreux en largeur et en hauteur, même si le manque de prises USB est à déplorer. Le véhicule est également équipé d’un toit panoramique et d’un écran multimédia de 8 pouces, incluant une caméra de recul, facilitant ainsi les manœuvres en ville.
Cependant, certains aspects laissent à désirer, comme le tableau de bord analogique et l’absence d’éclairage pour les passagers arrière. Malgré cela, le Sandero parvient à se rendre compétitif dans son segment, offrant un confort respectable pour les passagers et un volume de coffre de 328 litres, bien que l’accès puisse sembler élevé dans la version Stepway.
Performances et consommation
En termes de performances, le Sandero se montre efficace en milieu urbain, notamment avec le moteur TCe 110 CV. Bien que ce moteur ne soit plus disponible en 2025, le TCe de 90 CV reste présent et offre des résultats similaires. Lors des essais, une consommation de 7 litres en conditions de circulation intensive a été observée, mais grâce au mode Eco, il est possible de réduire cette consommation.
Sur routes à vitesse constante, les chiffres s’améliorent, avec des valeurs tournant autour de 5 litres. Toutefois, à haute vitesse, le comportement du véhicule est moins stable par rapport à ses concurrents comme le Clio, soulignant la montée de la garde au sol. D’autres aspects comme la direction un peu trop à vide et le freinage correct complètent le tableau des performances.
Choix de motorisation et équipement
Pour 2025, Dacia a réduit sa gamme de moteurs en Espagne, proposant uniquement le TCe de 90 CV ou l’ECO-G de 100 CV. Les prix étant similaires pour le même niveau d’équipement, nous recommandons d’opter pour la version ECO-G afin de bénéficier de l’étiquette écologique. Les options d’équipement comprennent une version « Expression Go » à partir de 16 450 euros, offrant un bon rapport qualité-prix.
Concurrence sur le marché
Au niveau des concurrents, le Sandero se positionne avantageusement en termes de prix. Le Renault Clio, par exemple, commence à partir de 17 099 euros, tandis que le Seat Ibiza, qui rivalise en termes de coût, débute à 14 900 euros, mais ne propose pas d’option avec label écologique. D’autres modèles comme le Citroën C3 et le Fiat Grande Panda, avec des motorisations hybrides et électriques, viennent également enrichir les choix disponibles sur le marché.
Au final, le Dacia Sandero se révèle être un choix judicieux pour les conducteurs à la recherche d’un véhicule fiable, économique et esthétiquement plaisant.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!