Le nouveau Mazda CX-5 de 2026 suscite déjà de nombreux espoirs parmi les passionnés d’automobile. En cours de test sur le sol américain, ce modèle revu soulève l’anticipation quant à son design, sa technologie embarquée, et particulièrement ses motorisations.
Sommaire
Une évolution nécessaire
La nouvelle génération du CX-5 représente une réponse indispensable aux attentes du marché, avec des changements esthétiques marqués ainsi qu’une modernisation des moteurs. Selon nos informations, le modèle sera inspiré des plus grands de la gamme, tels que le CX-60 et le CX-80, avec un avant dominé par une grille de calandre plus imposante et des phares à LED affûtés.
Les dimensions devraient rester relativement proches de celles de l’ancien modèle, avec une longueur estimée de 4,58 mètres, une largeur de 1,85 mètre et une hauteur de 1,69 mètre.
Rendu du Mazda CX-5 (2026)
Le flanc de la voiture est robuste, pouvant accueillir des jantes de 20 pouces au minimum. À l’arrière, la parenté avec le CX-60 et le CX-80 devient encore plus évidente, les groupes de feux horizontaux convergeant vers le logo Mazda au centre du hayon.
Bien qu’aucune image de l’intérieur n’ait encore filtré, il est probable que Mazda intègre une technologie dernier cri, avec des finitions inspirées du modèle Mazda 6e.
Une motorisation électrisée
Le CX-5 sera équipé de motorisations hybrides légères et complètes, sans écarter la possibilité de modèles hybrides rechargeables. Ces moteurs électrifiés seront développés en collaboration avec Panasonic et AESC, mais les détails concernant le type de cylindrée ou les performances ne sont pas encore clairs.
En revanche, il est avéré que Mazda élabore une nouvelle famille de moteurs à combustion à quatre cylindres, baptisée Skyactiv-Z, avec une commercialisation prévue pour 2027. Il est donc plausible que la gamme CX-5 intègre ces moteurs dans un avenir proche, dans une optique de réduction des émissions polluantes et de la consommation de carburant.
Le lancement de ce modèle est prévu pour 2026, mais d’ici la fin de l’année, des premières indices « officiels » pourraient émerger à travers des photos et des vidéos promotionnelles.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!