Les voitures de course en côte attirent les passionnés par leur puissance fulgurante et leur aérodynamisme impressionnant. Ce reportage examine un modèle particulièrement audacieux : une Lotus Exige transformée par son propriétaire pour intégrer un moteur Ferrari, promettant des performances exceptionnelles sur les routes sinueuses.
Sommaire
Une transformation radicale
La voiture que vous voyez ici a débuté comme une Lotus Exige ordinaire. Cependant, le propriétaire, Dawie Joubert, l’a progressivement transformée en un véritable monstre de performance. La carrosserie a été considérablement modifiée pour améliorer l’aérodynamisme, abritant un moteur V8 biturbo d’origine Ferrari 488 GTB — un changement radical par rapport au moteur Toyota à quatre cylindres d’origine.
Des performances époustouflantes
La Lotus a été optimisée pour atteindre 925 chevaux et 663 livres-pieds de couple, des chiffres bien au-delà de ce que produisait initialement le moteur Ferrari. Un système de transmission à palettes permet un passage des vitesses rapide, transférant ainsi la puissance aux roues arrière. Avec un poids à vide de seulement 1 025 kg, cette Lotus est en effet plus légère qu’un Miata.
Sans surprise, la Lotus propulsée par Ferrari se montre incroyablement rapide. Une vidéo publiée par la chaîne YouTube Hillclimb Monsters montre la voiture défiant les pentes accidentées de l’événement Simola Hillclimb en mai dernier en Afrique du Sud, remportant sa catégorie et ne concédant qu’une seconde par rapport au meilleur temps de la journée, établi par une monoplace.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!