Une Mini Cooper unique, modifiée avec soin, est prête à être mise aux enchères. Ce modèle, construit sur un châssis de réplique de Ford GT40, allie le charme rétro de la Mini à une performance impressionnante grâce à un moteur V8. Voici un aperçu de cette voiture d’exception qui attire l’attention des passionnés d’automobiles.
Sommaire
Une transformation radicale
La Mini Cooper originale était dotée d’un petit moteur de 1,0 litre produisant environ 40 chevaux, ce qui lui permettait d’atteindre une vitesse de pointe d’environ 145 km/h. Un niveau de performance suffisant pour l’époque. Cependant, cette version est tout sauf d’origine.
Créée en 1994 par GT Developments, cette Mini a été conçue pour démontrer les talents d’ingénierie de l’atelier et, espérons-le, inciter davantage de passionnés à acheter des répliques de GT40, pour lesquelles la société était surtout connue. Le nombre d’articles et de couvertures qu’elle a reçus dans les magazines de l’époque témoigne de l’efficacité de cette manœuvre publicitaire.
Un bijou d’ingénierie
La Mini, construite sur un châssis modifié de réplique de Ford GT40, est dotée d’un châssis tubulaire et d’une suspension indépendante. Elle comprend également une direction à crémaillère, des freins à disque à quatre roues, et une transmission à cinq vitesses. À l’arrière, dans la benne d’origine de la Countryman, se trouve un moteur V8 de 5,0 litres de Ford développant 250 chevaux, avec la puissance transmise aux roues arrière.
Ce modèle unique est désormais proposé aux enchères. Il fera l’objet d’une vente aux enchères organisée par Iconic Auctioneers au Royaume-Uni. Bien qu’aucun prix de construction d’origine ne soit disponible, la maison de vente estime que la Mini pourrait se vendre entre 30 000 et 35 000 livres sterling, soit environ 38 000 à 45 000 dollars selon le taux de conversion actuel.
Pour les passionnés à la recherche d’une pièce vraiment spéciale pour leur garage, cette Mini radicalement modifiée constitue une occasion à ne pas manquer.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!